Le Forum des Anciens Premiers Ministres d’Haïti appelle le CPT à anticiper la crise du 7 février 2026


Le FAPM alerte sur le risque de vide institutionnel en février 2026 et presse le Conseil présidentiel de transition d’agir sans délai.

Le Discussion board des Anciens Premiers Ministres d’Haïti (FAPM) alerte sur les risques d’une deadlock politique majeure à l’échéance du 7 février 2026. Dans une déclaration publique adressée au Conseil Présidentiel de Transition (CPT), le regroupement estime qu’aucun référendum ni élections générales ne pourra être organisé d’ici là, contrairement à ce que prévoyait le décret du 23 mai 2024.

Selon le FAPM, le pays s’expose à un vide institutionnel dangereux, dans un contexte déjà marqué par l’insécurité, l’instabilité politique et l’effondrement économique. L’arrêt du trafic aérien direct avec les États-Unis, la fermeture des frontières dominicaines et l’isolement diplomatique accentuent encore la précarité, souligne la déclaration signée par l’ancien Premier ministre Evans Paul, président du Discussion board.

Face à cette scenario, les anciens Premiers ministres proposent la tenue d’une assise nationale inclusive, rassemblant partis politiques, société civile, églises, secteur privé, diaspora et associations paysannes. Cette rencontre devrait permettre de dégager un agenda consensuel pour l’après-7 février, centré sur la sécurité, la stabilité institutionnelle et l’organisation des élections.

Le FAPM croit que l’avenir d’Haïti doit d’abord être décidé par les Haïtiens eux-mêmes. Il invite le CPT à lancer rapidement une giant session nationale afin d’éviter que la date butoir du 7 février 2026 ne devienne une nouvelle supply de chaos et de désordre.

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Le FAPM alerte sur le risque de vide institutionnel en février 2026 et presse le Conseil présidentiel de transition d’agir sans délai.

Le Discussion board des Anciens Premiers Ministres d’Haïti (FAPM) alerte sur les risques d’une deadlock politique majeure à l’échéance du 7 février 2026. Dans une déclaration publique adressée au Conseil Présidentiel de Transition (CPT), le regroupement estime qu’aucun référendum ni élections générales ne pourra être organisé d’ici là, contrairement à ce que prévoyait le décret du 23 mai 2024.

Selon le FAPM, le pays s’expose à un vide institutionnel dangereux, dans un contexte déjà marqué par l’insécurité, l’instabilité politique et l’effondrement économique. L’arrêt du trafic aérien direct avec les États-Unis, la fermeture des frontières dominicaines et l’isolement diplomatique accentuent encore la précarité, souligne la déclaration signée par l’ancien Premier ministre Evans Paul, président du Discussion board.

Face à cette scenario, les anciens Premiers ministres proposent la tenue d’une assise nationale inclusive, rassemblant partis politiques, société civile, églises, secteur privé, diaspora et associations paysannes. Cette rencontre devrait permettre de dégager un agenda consensuel pour l’après-7 février, centré sur la sécurité, la stabilité institutionnelle et l’organisation des élections.

Le FAPM croit que l’avenir d’Haïti doit d’abord être décidé par les Haïtiens eux-mêmes. Il invite le CPT à lancer rapidement une giant session nationale afin d’éviter que la date butoir du 7 février 2026 ne devienne une nouvelle supply de chaos et de désordre. » width= »720″ top= »378″ />

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