Le Ministère de l’Économie et des Funds energetic le fonds d’urgence face aux ravages de l’ouragan Melissa
Le passage dévastateur de l’ouragan Melissa a plongé Haïti dans la désolation. Selon le dernier bilan communiqué par la Path de la Safety Civile (DPC), au moins 24 personnes ont perdu la vie, dont une vingtaine à Petit-Goâve, épicentre du drame.
Le directeur général de la DPC, Emmanuel Pierre, a également signalé 17 blessés, 18 disparus et plus de 500 maisons inondées. En tout, près de 156 000 familles ont été touchées à travers le pays. Face à cette tragédie humanitaire, le gouvernement de Alix Didier Fils-Aimé, par l’entremise du Ministère de l’Économie et des Funds (MEF), a activé le fonds d’urgence, comme prevu par la loi, afin de répondre rapidement aux besoins des populations sinistrées.
Depuis avril dernier bien avant le début de la saison cyclonique, des tendencies ont été prises pour alimenter les comptes des 10 instructions départementales afin qu’elles puissent fournir les premiers secours à la inhabitants en cas de désastres naturels. Dès les premières heures de la crise, le MEF a coordonné, sous les directives du Premier ministre Fils-Aimé, la mobilisation de ces ressources pour soutenir les opérations de secours. « Le fonds d’urgence vise à garantir la disponibilité immédiate de moyens pour appuyer la Safety civile, les collectivités et les ministères sectoriels dans la gestion de la réponse », précise un communiqué du Bureau du Ministre de l’Économie et des Funds.
Parallèlement, le Bureau des Nations Unies pour la Coordination des Affaires Humanitaires (OCHA) avait anticipé l’influence de Melissa. Sur la base des prévisions météorologiques, 4 thousands and thousands de {dollars} américains avaient été débloqués depuis le Central Emergency Response Fund (CERF) au revenue d’Haïti. Ces fonds, gérés en coordination avec le MEF et la Path Générale du Price range, permettent au Programme Alimentaire Mondial (PAM), à l’UNICEF et à l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) de venir en aide à plus de 100 000 personnes vulnérables, avant même le passage de la tempête.
Le Ministère de l’Économie et des Funds a salué cette anticipation qui, selon lui, illustre l’significance de la planification budgétaire préventive dans la gestion des catastrophes naturelles. Dans un contexte de funds publiques fragilisées, le ministre a rappelé que la résilience économique du pays dépend désormais d’une meilleure coordination entre l’État, les partenaires internationaux et les acteurs locaux. « Chaque gourde investie dans la prévention permet d’éviter des pertes humaines et matérielles bien plus importantes », a-t-il souligné.
Malgré ces efforts conjoints, les besoins demeurent considérables. Dans plusieurs départements, notamment dans le Sud, les Nippes, l’Ouest,le ‘Sud’Est, la Grand’Anse des routes sont coupées, les cultures anéanties et les infrastructures de base gravement endommagées. Le MEF, de live performance avec les Ministères de l’Agriculture, des Travaux Publics, procède actuellement à l’évaluation des dégâts afin d’ajuster les allocations budgétaires d’urgence. Des discussions sont également engagées pour solliciter un appui additionnel des establishments financières internationales comme la Banque mondiale, la BID et le Fonds monétaire worldwide (FMI).
En activant promptement le fonds d’urgence et les ressources a provenir des partenaires strategies et financiers, le MEF témoigne de la volonté de l’État haïtien d’assurer, malgré les contraintes, une réponse financière efficace, rapide et coordonnée aux besoins urgents des populations touchées.
À lire aussi:
La BRH autorise les banques à accorder des moratoires et à restructurer les prêts entre novembre 2025 et septembre 2026