File Jovenel Moïse : présent à la cour d’appel de Port-au-Prince, Claude Joseph réaffirme sa volonté de collaborer avec la justice
Présent à la cour d’appel de Port-au-Prince ce mercredi 25 juin, le chef du parti politique EDE, Claude Joseph a réaffirmé sa volonté de collaborer avec la justice dans le cadre du file de l’assassinat du président Jovenel Moïse, alors qu’il était ministre des Affaires étrangères et Premier ministre par intérim.
« Ce mercredi matin, je suis présent à la cour d’appel pour répondre aux questions de la justice haïtienne, dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat tragique du 58e président de la République, Son Excellence Monsieur Jovenel Moïse », a-t-il écrit, accompagnant sa déclaration d’une photograph le montrant aux côtés de son avocat.
L’ancien Premier ministre, aujourd’hui opposant à l’équipe actuellement en cost de la transition, ajoute : « Depuis le début de cette procédure, je n’ai jamais manqué une seule event de coopérer pleinement avec la justice. Et ce, malgré l’ordonnance politique de la honte rendue par le juge instructeur. »
Claude Joseph n’a cessé de clamer son innocence depuis que le juge d’instruction Walther Wesser Voltaire l’a inculpé, aux côtés de plusieurs dizaines de personnes, dont la veuve du président, Martine Moïse, et l’ancien directeur général de la Police nationale d’Haïti, Léon Charles. Le chef du parti EDE avait même qualifié l’ordonnance du juge de « forme de démagogie politique ».
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