Face à la flambée des prix et à l’explosion des visites aux banques alimentaires au Canada, les partis politiques sont appelés à agir concrètement
Cette crise, exacerbée par l’inflation et la précarité économique, suscite une attente forte des électeurs. Une étude révèle que 86 % des Canadiens souhaitent que le gouvernement fédéral prenne des mesures pour réduire de moitié l’insécurité alimentaire d’ici 2030.
Les positions des partis en matière de sécurité alimentaire
- Le Parti libéral, avec Mark Carney, suggest d’investir dans les infrastructures agricoles locales (serres, hydroponie) pour renforcer la manufacturing alimentaire nationale.
- Le Nouveau Parti démocratique (NPD), dirigé par Jagmeet Singh, mise sur le renforcement des programmes de soutien au revenu (prestations, assurance-emploi).
- Le Parti conservateur de Pierre Poilievre, plus discret sur le sujet, mise sur des baisses d’impôts et la relance économique pour accroître le pouvoir d’achat.
Les organisations de lutte contre la faim, comme Feed Ontario, appellent à des mesures systémiques : soutien au revenu, investissements dans les circuits courts, politiques interconnectées entre logement, emploi et alimentation.
À quelques jours du scrutin, la sécurité alimentaire est devenue un indicateur-clé de l’efficacité des programmes sociaux au Canada. Les électeurs s’apprêtent à choisir non seulement un gouvernement, mais aussi une imaginative and prescient de l’équité alimentaire et du droit à une vie digne.
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