Les gangs armés sèment la terreur et la mort à Port-au-Prince, Kenscoff, Mirebalais et dans l’Artibonite, assassinant des innocents sans aucune motion concrète de l’État
L’insécurité en Haïti atteint un niveau insoutenable. Chaque jour, des hommes, des femmes et des enfants sont assassinés par des gangs armés qui opèrent en toute impunité. De Port-au-Prince à Kenscoff, en passant par l’Artibonite et Mirebalais, les exactions se multiplient, plongeant le pays dans une spirale de violence sans fin. Pourtant, les autorités n’entreprennent aucune motion concrète, comme si ces vies fauchées ne comptaient pas.
Combien de morts faudra-t-il encore pour que l’État assume enfin ses responsabilités ? Cette query hante les esprits alors que les cadavres s’entassent et la inhabitants vit dans la terreur. Les témoignages sont bouleversants : familles décimées, maisons incendiées, travailleurs et commerçants abattus froidement dans l’exercice de leurs fonctions.
Face à cette hécatombe, aucune mesure concrète n’a été prise pour démanteler ces groupes criminels qui dictent leur loi à des régions entières. Où sont passées les forces de l’ordre ? Où est l’État censé garantir la sécurité de ses citoyens ?
L’inaction du gouvernement alimente la colère et l’indignation. Tandis que la inhabitants est livrée à elle-même, les gangs continuent de s’armer et d’étendre leur affect, rendant l’avenir du pays de plus en plus incertain.
Jusqu’à quand cette tragédie va-t-elle durer ? Combien de morts encore avant que les autorités haïtiennes sortent de leur léthargie et assument enfin leur devoir envers le peuple ?
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